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Vivre en {bonne} Santé
grâce au Phénomène
de la Résonance




Un tambour, ça résonne!


Raisonnons bien! Résonnons bien!

Le corps doit être en résonance avec l'âme et même avec l'esprit; c'est là, en tant qu'axiome de base, une nécessité absolument vitale.

C'est aussi une condition de la Santé.

Une dent contre la douleur?

Supposons que vous ayez mal à une dent. Vous devez aller chez le dentiste et êtes allergique aux produits anesthésiants, ou bien, pour une raison ou pour une autre, celui-ci n'en a plus à disposition. Vous n'aimez pas la souffrance. Même si elle n'est pas russe, vous craignez la roulette et avez peur de la douleur qu'elle peut vous infliger. Cette peur va vous inciter, lors de votre présence sur le fauteuil du dentiste, à exercer une sorte de pression extatique sur votre corps afin de parvenir, au moins partiellement, à refouler la douleur.

Par une telle pression vous pensez peut-être avoir résolu votre problème consistant à réduire la douleur autant que faire se peut et, si possible même, la faire complètement disparaître. Oui, peut-être, momentanément, mais, en réalité, cela n'est jamais que «reculer pour mieux sauter»!

C'est, de façon générale, le problème de tous les anesthésiants chimiques. Certes, au moment où elle devrait survenir, ils suppriment la douleur, mais au prix d'une déconnexion de l'organe anesthésié avec le cerveau. C'est comme si le nerf reliant, par exemple, la dent douloureuse à la zone du cerveau correspondante avait été sectionné.

Du coup, la douleur n'est, en effet, alors, plus ressentie, mais l'organe concerné est alors comme un organe mort, et la vibration de la douleur ne pouvant plus remonter jusqu'au cerveau, s'enkyste alors dans l'organe lui-même, où elle va se trouver comme emprisonnée. La douleur n'a pas disparu, elle est juste là, enregistrée ou mémorisée, comme «congelée»! De telles douleurs enkystées sont notamment ce que l'on appelle les mémoires cellulaires.

Du reste, lorsqu'une dent est «dévitalisée» (c'est-à-dire, en fait, tuée!), c'est précisément cela qui se passe: la dent est alors devenue morte, et la terminaison nerveuse qui la reliait au système nerveux a été détruite! C'est un peu comme un mécanicien qui «soignerait» ou «guérirait» un moteur de voiture signalé comme «malade» par un voyant rouge allumé sur le tableau de bord en se bornant à sectionner le fil électrique reliant le voyant au moteur, de sorte à ce qu'il ne reste pas allumé: Plus de voyant rouge, plus de problème!

Quand mon mécano tente de me berner, je vois rouge!

Évidemment, tout propriétaire/possesseur de voiture qui se respecte s'indignerait de voir, de façon aussi illusoire, son moteur ainsi «réparé» par le mécanicien, mais le même ne s'indigne, le plus souvent, pas du tout, lorsque le «mécanicien» de sa bouche procède ainsi en déconnectant chaque précieux signal d'alarme sur le tableau de bord de sa dentition (32 «voyants sensibles» correspondant, chacun, à un problème spécifique) de son système nerveux et, surtout, de son psychisme.

Certes, les dents ne s'allument pas comme un voyant électrique de couleur rouge, mais ce n'est pourtant pas pour rien si le rouge est généralement associé à la douleur! Si une dent s'«enflamme» (ce qui rappelle aussi le rouge!) ne serait-ce pas comme un voyant rouge signalant un problème spécifique sur notre propre tableau de bord?

À la recherche des causes premières...

Il faut, en effet, remonter la chaîne des causes jusqu'à la racine, et pas seulement celle des dents! Pourquoi une dent se carie-t-elle? Certes, elle peut subir des agressions extérieures, tel le sucre blanc raffiné, provoquant de l'acidité agissant de façon corrosive, mais cela n'est pourtant pas là que sont à rechercher les causes déterminantes. Même s'il est probable qu'ils ne consommaient pas de sucre blanc raffiné, l'examen de la dentition des momies retrouvées dans les tombes des anciens Égyptiens montre, par exemple, qu'ils avaient déjà des caries.

Alors, y aurait-il d'autres causes que les causes physiques extérieures? C'est fort probable! «Ce qui ne s'exprime pas s'imprime», dit le proverbe. Ce qui ne s'exprime pas ne s'exprime pas soit à cause du refoulement volontaire soit à cause de l'inconscience qui lui est, le plus souvent, associée. Et toute inconscience se transforme, un jour, en fatalité, et donc en douleur!

Dans tous les cas, Joie ou souffrance/douleur, la résonance doit absolument, dans les deux sens, circuler sans entraves ni obstacles et pouvoir ainsi aller du sommet jusqu'au tréfonds de l'être – ou, autrement dit, du plus intérieur jusqu'au plus extérieur -, donc de haut en bas et de bas en haut, du dedans vers le dehors et du dehors vers le dedans. La Joie comme la douleur frappent sans cesse à la porte, en vue du Réveil!

Lorsque cela se passe ainsi, la personne est alors en mesure d'être - ou de redevenir - en {bonne} santé.

L'importance pour la Santé de la Loi d'Attraction du Genre Semblable

En fonction de ce que vit l'être humain à l'intérieur de lui-même les éléments étrangers se trouvant dans son corps, tels les parasites et les divers polluants, jouent un rôle plus ou moins important. Non seulement, en fonction de leur genre, ils se regroupent eux-mêmes, renforçant ainsi, de néfaste manière, leur impact global, mais, dans leurs effets sur la santé du corps, ils sont plus ou moins activés par la vie intérieure, se manifestant de façon vibratoire, de la personne concernée.

C'est, par exemple, ainsi que, après un choc psychique conséquent, naissent les tumeurs, qui sont des regroupements d'éléments pathogènes (parasites et polluants) dans le corps. Heureusement, à condition qu'elles ne soient pas, en tant qu'effet de réciprocité, devenues trop monstrueuses (auquel cas seul un scalpel acéré pourrait en venir à bout!), des moyens naturels existent - qu'elles soient ou non considérées comme malignes (proliférantes) -, pour stopper et même faire disparaître de telles tumeurs.

La Polarisation

À cela s'ajoute un autre phénomène, qui est celui de la Polarisation. Les éléments pathogènes – donc morbides et mortifères - présents dans un corps humain ont tendance à être polarisés {vers le} Pole Sud. Cela concerne aussi la nourriture; les aliments malsains sont souvent polarisés Sud. La Polarisation saine est la Polarisation Nord.

Heureusement, il existe un petit appareil, appelé Zappicator, se présentant sous la forme d'un plateau en bois sous lequel se trouve des aimants, qui, relié à un Zapper (ou, en français, Zappeur), permet, entre autres, au niveau moléculaire, de re-polariser les aliments, posés dessus, qui en ont besoin, en direction du Pôle Nord.

Après quoi, de tels aliments sont, de nouveau, bons à consommer et ne risquent plus de contribuer à la polarisation du corps de l'être humain concerné en direction du Sud au lieu du Nord.

Être bien orienté

Il n'y a, en effet, pas que les aliments à être plus ou moins bien polarisés; il y a aussi, par exemple, en tant que reflet des âmes qui les habitent, les corps humains eux-mêmes!

Tout le monde connaît l'expression décrivant quelqu'un de «bien centré», se tenant «droit dans ses bottes», de celui-là l'on dit couramment: «Il ne perd pas le Nord!». C'est, en effet, très important d'être bien polarisé en direction du Nord. Prenons le cas d'une personne dont le lieu de naissance, le lieu de baptême, le lieu de la cérémonie d'inhumation et le tombeau lui-même seraient parfaitement alignés (le cas existe!), de bas en haut, précisément (au degré près) en direction du Nord! Nous aurions ici un cas d'Alignement absolument remarquable symboliquement manifesté par des repères extérieurs. Mais le plus important est, bien sûr, l'Alignement intérieur.

Un tel Alignement intérieur signifie que la personne est parcourue de haut en bas par un même Axe vertical qui le relie tout naturellement à ce qui se tient plus haut qu'elle. Cet Alignement par le Haut est aussi la condition de son parfait Ancrage en bas. À noter, en passant, que l'Alignement sur le Haut est plutôt la fonction du Féminin, tandis que l'Ancrage en bas sur le Sol matériel est plutôt celle du Masculin.

Le corps ne ment pas

Mais comment savoir si l'on est aligné? Bien sûr, le plus important est l'alignement spirituel, dont l'alignement du corps n'est qu'un reflet grossier. Mais comme ce qui est spirituel est, le plus souvent, largement inconscient – et que la conscience part de l'extérieur pour aller vers l'intérieur -, pouvoir assurément déterminer si, déjà, l'on est physiquement aligné présente un indubitable intérêt.

Il est, par exemple, un moyen très simple pour cela. «Tout le monde» a entendu parler des détecteurs de mensonge. Ces appareils électriques sont basés sur le principe que la distorsion existant entre la conscience de quelqu'un qui connaît une vérité mais, à la place, délivre sciemment un mensonge est perceptible jusque dans son corps. Autrement dit, même si sa «bouche» peut mentir, son corps, lui, ne peut pas mentir, et, c'est ainsi que, «à son corps défendant», en avouant involontairement le mensonge, il dira quand même la vérité, malgré lui.

Quelqu'un qui ne manifesterait plus aucune distorsion du tout ne prouverait assurément pas ainsi la supériorité de son esprit mais seulement le fait que celui-ci est tellement {profondément} enseveli en lui que sa conscience, en tant que la voix de celui-ci, en est arrivée à être complètement étouffée de telle sorte qu'elle ne peut plus rien exprimer – même inconsciemment – en direction de l'extérieur.

Si «le corps ne ment pas», c'est surtout parce que l'esprit, qui l'habite, par la voix de la conscience, ne peut, quant à lui, s'empêcher de dire la «vraie vérité». Le corps, lui, est neutre, et c'est précisément parce qu'il est neutre qu'il ne ment pas; il transmet fidèlement le message de l'esprit qui habite, à l'intérieur.

Alors, êtes-vous alignés? Êtes-vous orienté(e) Pôle Nord ou Pôle Sud? Obéissez-vous à votre conscience ou à la pression extérieure? Comment le savoir?

Si votre intuition, faute de l'entendre, ne vous le dit pas suffisamment nettement, peut-être alors avec un Syncromètre?

Le Syncromètre pour «les Nuls»

Le Syncromètre est un étonnant petit appareil, pesant moins de 500 grammes, étonnant de simplicité, mais présentant, bien maîtrisé, d'extraordinaires possibilités.

Le but est de rechercher la Résonance existant entre deux réalités distinctes.

Le phénomène de la Résonance semble souvent ésotérique à beaucoup parce que, d'étonnante manière, il fonctionne aussi avec la Symbolique.

Le Syncromètre permet, en particulier, de déterminer la présence de parasites et de polluants dans le corps, mais, à l'aide d'un flacon-test contenant la fréquence du Pôle Sud il permet aussi de déterminer la Polarité Nord/Sud. Il suffit, pour le savoir, de poser le flacon en question (lequel ne contient que de l'eau vibratoirement informée) sur le plateau droit du Syncromètre (lequel en possède deux) et de faire résonner les deux plateaux (le plateau gauche est, par défaut, automatiquement raccordé à la personne elle-même (le testeur). Si une modification du son se fait entendre, (dans le sens d'une montée vers les aigus), lorsque le deuxième plateau est aussi connecté, alors le test est positif, ce qui veut dire que la personne a bien le produit ou le mico-organisme concerné dans son corps.

Dans le cas du flacon-test (copie homéographique) Pôle Sud, si le test est positif, la personne est bien orientée Pôle Sud (ce qui, en fait, est plutôt … négatif!). Si, au contraire, le test est négatif (absence de résonnance, donc de montée dans les aigus), alors la personne testée, est, à l'inverse, polarisée vers le Pôle Nord, ce qui est tout à fait «positif»!

L'on peut procéder autrement pour parvenir au même résultat, par exemple en testant selon la méthode «Ondévit», associée avec la kinésiologie. En procédant de cette manière la personne testée est allongée, par exemple sur une table de massage, et reçoit le flacon-test («bottle-copy») sur sa poitrine à la hauteur du sternum (plexus solaire), tandis qu'elle tient son bras gauche verticalement au-dessus d'elle. De façon comparative, après avoir testé «à vide», le testeur teste alors la résistance du bras à la poussée vers le bas, c'est-à-dire le long du corps. Si le bras résiste bien, le test est négatif (l'on dit alors que la personne est «testée forte»); si, tout en résistant, le bras se couche, alors cela veut dire que le test est positif (l'on dit alors que la personne est «testée faible»). C'est ainsi que l'on peut, par exemple, voir, en cas de «test positif faible», le bras vigoureux d'un homme costaud soudainement fléchir sous la poussée du «faible bras» d'une frêle testeuse...

Au Commencement était le Verbe!

Avec la méthode Ondévit un flacon-test contenant en teinture-mère le produit à tester ou même seulement sa copie homéographique (de l'eau informée) n'est même pas nécessaire. Le mot désignant la substance ou le micro-organisme (parasite) est suffisant pour effectuer le test. L'on utilise, en ce cas, de petis carrés en carton, que l'on pose sur la poitrine de la personne testée, et sur lesquels sont tout simplement inscrits les noms des produits ou micro-organismes à rechercher, doublement encerclés par deux cercles concentriques, et sur lesquels, afin d'amplifier le signal, l'on dépose un aimant thaurique (circulaire)...

De la même manière l'on peut placer sur le plateau droit du Syncromètre, à la place des substances à tester ou bien de leurs copies homéographiques, des cartons Ondevit.

Même si le résultat est possiblement meilleur (de nombreuses vérifications doivent être faites avant de pouvoir émettre des conclusions catégoriques et définitives) avec des cartons Ondévit, l'on peut aussi obtenir des résultats significatifs avec des cartons «ordinaires» sur lesquels les mots sont écrits, que ce soit de façon imprimée ou de façon manuscrite. Il est, toutefois, certainement important que les mots soient correctement écrits, c'est-à-dire de façon lisible, avec une bonne orthographe, et sans ambiguïté.

Nouvelles Perspectives...

Les perspectives qui s'ouvrent avec, en fonction de l'ouverture de conscience, la propagation, chez les chercheurs en santé - et de santé – de telles notions, sont proprement vertigineuses... Évidemment, les critiques ne manqueront pas, ici où là, de la part des scientistes ayant connaissance de l'existence de telles pratiques, pour affirmer qu'elles ne seraient pas «scientifiques». À cela il est possible de répondre que, scientifique ou pas, là n'est pas la question, ou bien que c'est une question tout à fait secondaire. Dans le domaine de la santé, il est bien indifférent au patient «normal» de savoir s'il a guéri de manière scientifique ou non, et il préfèrera certainement guérir de manière complètement empirique que de rester malade ou de mourir «scientifiquement»!

C'est donc le pragmatisme qui est ici de rigueur! De nombreuses guérisons sans pouvoir s'expliquer «scientifiquement» - c'est-à-dire, en fait, seulement intellectuellement – n'en sont pas moins tout à fait effectives et changent complètement la vie de la personne malade. Il en va de même dans le domaine du diagnostic. Même si le facteur humain entre en ligne de compte, ce qui importe c'est la justesse du résultat final. Ce qui, bien souvent, berne les scientistes – qui veulent ériger {leur conception de} la science (et qui, le plus souvent, n'est, elle aussi, qu'un simple système de croyances parmi d'autres) en système normatif pour tout et pour tous – c'est l'illusion d'objectivité. Ils se placent constamment en dehors de leurs observations en s'imaginant faussement qu'ils n'interviennent pas dedans.

Ceci est, naturellement - comme le montrent la relativité et la physique quantique -, complètement faux. L'observateur ne peut jamais complètement se tenir à l'extérieur, mais, par sa présence et son regard, influence, tout au contraire, le résultat de son observation. C'est ainsi qu'une particule ayant une nature purement «ondulatoire» lorsqu'elle n'est pas observée devient aussi «corpusculaire» - et donc «incarnée» et perceptible dans l'espace et le temps – lorsqu'un «observateur extérieur» la regarde...


L'Art et la Science du Syncromètre

Dans l'utilisation d'un appareil comme le Syncromètre l'existence d'un facteur humain n'est, assurément, pas niée mais, tout au contraire, soulignée. La mise en évidence et la perception de la résonance passent indubitablement par le corps humain. En cela l'on peut dire que l'utilisation du Syncromètre ne relève pas seulement d'une science mais aussi d'un art. Comme pour un violon, pour lequel l'aspect artistique compte au moins autant que l'aspect technique, un entraînement est nécessaire. Ce n'est pas l'appareil seul qui fait l'interprétation et donne le résultat mais bien l'être humain sur la base de son utilisation personnelle de l'appareil. L'utilisation d'un tel appareil – dont le principe de base scientifique est d'une extra-ordinaire simplicité - n'est, assurément pas, réservée à une élite intellectuelle mais peut être, avec un peu d'entraînement et de persévérance, être apprise par tout un chacun qui le désire vraiment. Un tel apprentissage s'avère grandement précieux pour toute personne en quête de réelle Autonomie pour sa Santé.

Retour à la Polarisation

Si quelqu'un est corporellement polarisé Pôle Nord, cela veut donc dire qu'il est correctement orienté. Mais s'il est orienté Pôle Sud, cela veut non seulement dire qu'il est corporellement fragile vis-à-vis des parasites et des polluants mais probablement aussi et surtout qu'il n'est, terrestrement, pas suffisamment à l'écoute de son ressenti intérieur.

Cela est, bien évidemment, d'une extrême importance. La Polarisation est, très probablement, un très fort indicateur quant au degré de morbidité potentielle ayant possiblement pénétré dans un corps... C'est que la maladie, elle aussi, s'annonce de façon très subtile bien avant d'apparaître... Tout est très simple: D'un côté, nous avons la vie et, de l'autre, la mort. Soit c'est la vie qui progresse, et alors la mort recule, soit c'est la morbidité qui gagne, et c'est alors la vie qui est en recul...

Un être humain dont le corps est globalement en Polarité Sud n'est pas {encore} malade mais un certain degré de morbidité a déjà atteint son corps. Il est donc important pour lui de le corriger pour revenir, dès que possible, en Polarité Nord avant que l'état de morbidité ne prenne des proportions encore plus grandes et ne se répercute en maladie.

Au sujet de la Polarité il est important de savoir que tous les organes du corps sont normalement en Polarité Nord à l'exception du cerveau et de la moelle épinière, dont la Polarité est normalement Sud. En fonction de cela, la Polarité Globale du corps doit, bien évidemment, être Nord.

La Polarité Nord est donc le signe d'une bonne santé, tandis qu'au contraire la Polarité Sud pré-indique une avancée de la morbidité.

Comment la vie (l'état de santé) ou la mort (la morbidité) progressent-elles dans le corps?

De différentes manières:

• Il y a, bien sûr, par exemple, en provenance de l'extérieur, l'influence des ondes électro-magnétiques. Des ondes bénéfiques – ce qui est nettement plus rare – peuvent aider à maintenir la Polarité Nord ou bien re-polariser vers le Nord, tandis que des ondes nocives peuvent, au contraire, dépolariser du Pôle Nord et polariser vers le Pôle Sud.

• Il a aussi, bien évidemment, l'influence des aliments. En particulier, si des aliments sont eux-mêmes déjà polarisés Pôle Sud ils vont avoir tendance à aussi polariser vers le Sud le corps entier. Il est possible de remédier à cela en utilisant le Zappicator, qui, en dehors du fait qu'il élimine les champignons et les moisissures, ainsi que le benzène et les PCB, repolarise également, grâce aux aimants qui se trouvent sous le plateau, en direction du Pôle Nord. Bien sûr, les aliments déjà polarisés Nord et n'ayant donc pas besoin d'être corrigés agissent de façon naturellement bénéfique, en soutenant la Polarisation Nord.

Il y a, de même, de nombreux autres facteurs agissant de façon plus ou moins subtile. Lorsque la morbidité progresse dans le corps les mycrozymas (découverts par le professeur Antoine Béchamp) du corps présents dans le sang se transforment en bactéries longilignes.

Du sain au morbide – Du morbide au sain

Ces bactéries, bien qu'elles se soient formées dans le corps à partir des mycrozymas eux-mêmes, sont souvent considérées comme pathogènes, comme s'il s'agissait de minuscules ennemis arrivés de l'extérieur... Pourtant, une réversion des énergies négatives en énergies positives est ici possible: Sous l'afflux de bons microzymas (aussi appelés «symbiontes» ou «symbiotes» mais également «somatides», «nanobes» ou «nanobactéries», etc.) d'origine extérieure, tels que ceux que peut apporter un produit comme le Régulat (R), les bactéries «pathogènes» - ainsi que cela est visible au cours d'une observation (ou d'un film) effectuée à l'aide d'un microscope à fond noir – sont capables de se re-décomposer en mycrozymas natifs, identiques à ce{ux} qu'ils étaient à l'origine.

Que cela signifie-t-il? L'interprétation correcte du phénomène observé n'est pas très difficile. La Nature poursuit son but, qui est celui de l'Évolution terrestre générale, au service de la Vie Biologique. Au niveau biologique – où la différenciation entre les individus est loin d'être aussi grande que celle existant au niveau des êtres humains - ce n'est pas forcément la survie individuelle qui compte mais bien plutôt celle de l'espèce. Lorsque le cerveau du corps, de par les retours (bio-feed-back) qui, grâce à tous les cordons nerveux parcourant le corps, lui reviennent, constate que la morbidité croissante du corps a atteint ou dépassé un certain seuil, il décide, afin de «faire le ménage», de permettre (ou, peut-être même, d'ordonner) aux mycrozymas de se transformer en bactéries longilignes. Poussé jusqu'à son terme, le résultat final d'un tel processus peut tout à fait bien être la mort du corps.

La mort au service de la Vie

Évidemment, considérée du point de vue de l'individualisme humain, une telle issue est, le plus souvent, {considérée comme,} une catastrophe. Mais, d'un point de vue exclusivement biologique c'est quelque peu différent. C'est la même chose que l'instinct de combat dans la Nature. Avec un regard superficiel l'on pourrait croire que l'instinct de combat agit, parmi les animaux, de façon mortifère dans la Nature. C'est pourtant le contraire qui est vrai: L'instinct de combat stimule la vie et l'évolution biologiques de toutes les manières; par l'élimination du faible et du malsain ne restent que les éléments les plus forts et les plus vigoureux, de sorte que le patrimoine génétique transmis à la descendance est toujours le meilleur.

La Nature a le souci de l'amélioration de la vie biologique dans la matière. Ce but lui est propre. L'Esprit, de par l'incarnation, est l'hôte de la Nature, mais il ne se confond pas avec elle! Lui poursuit un autre But, qui est celui de l'Évolution spirituelle. Une fois apprise la leçon de l'incarnation en cours, l'Évolution spirituelle peut tout à fait, pour lui, se poursuivre sur un autre Plan d'existence et de réalité, où la Nature est d'un autre genre.

L'on peut donc dire que la Nature accueille l'Esprit, tandis que l'Esprit vient habiter en elle afin de la spiritualiser. La spiritualisation de la Nature par son hôte, toutefois, ne change pas son genre pour autant mais lui permet d'atteindre le sommet de son propre processus de développement: Un genre n'atteint son achèvement que grâce à l'action du genre plus élevé qui se tient au-dessus de lui.