Ne plus jamais «tomber» malade

Prévenir et Guérir
toutes les maladies

grâce à la Médecine Nouvelle

 

Tableau explicatif de la Médecine Nouvelle

Le Docteur Ryke Geerd Hamer explique magnifiquement bien comment un «choc psychique dramatique, prenant à contre-pied et vécu dans l’isolement» peut déclencher un «SBS (aus der Natur)» ou «Programme Spécial Bien-Fondé de la Nature» (autrement appelé «maladie», une maladie telle que le cancer). À ce sujet, en dehors du fait de bien comprendre et expliquer tous les processus, il n’y a, sur le fond, pas grand chose de plus à dire après lui.

Le Dr Hamer propose de percevoir la maladie non plus comme une fatalité, un ennemi à combattre mais comme un réflexe biologique de survie, un programme spécial bien fondé de la Nature, par lequel la maladie serait, en fait, une amie nous voulant du bien. La maladie est alors perçue comme la solution parfaite du cerveau.

Lors d'un DHS (Dirk Hamer Syndrom, appellation choisie en mémoire à son fils Dirk grâce auquel il a pu découvrir l'origine psychique du cancer et des autres maladies), c'est à dire un choc générant un conflit aigu et dramatique vécu dans l'isolement, le cerveau donne alors l'ordre de trouver la meilleure solution jusqu’ici connue de lui, utilisée lors de l'évolution des espèces, afin de permettre la survie de celles-ci.

Le Dr Hamer a pu démontrer scientifiquement, grâce au scanner cérébral, la corrélation entre le DHS, une aire cérébrale précise perturbée par le choc et un organe spécifique du corps. Cette triade a été vérifiée dans 100% des cas qui ont été soumis à l'observation.

Ce qui, par contre, est jusqu’ici demeuré encore largement mystérieux c’est ce qui s’est passé avant le fameux choc psychique, permettant de comprendre pourquoi, dans certains cas, l’événement est un choc et pourquoi, dans d’autres, il ne l’est pas.

La compréhension du pourquoi est ici fondamentale, car, si l’on a compris pourquoi un choc psychique a lieu ou non, l’on peut aussi comprendre comment il est possible de l’éviter et donc de générer la maladie corporelle. L’on a alors compris comment il est possible d’éviter d’être physiquement malade, c’est-à-dire, par exemple, de développer un cancer ou quoi que ce soit d’autre.

Tout ce qui se passe dans l’Univers obéit à des Lois vivantes. Toutes les Lois sont immuables. Par exemple, la Pesanteur est une Loi. Rien ne lui échappe. Ce sont des Lois d’Airain (alliage d’une très grande solidité). Cela veut dire que, à chaque fois, les causes sont prévisibles et que les effets sont reproductibles. Ces Lois Universelles sont aussi souvent appelées «Lois de la Nature».

En ce qui concerne les corps, la santé et les maladies sont aussi déterminées par des Lois d’Airain biologiques. Une loi d’airain est d’une loi aussi solide - et donc inflexible - que l’airain, un alliage d’une résistance exceptionnelle [en allemand „ehernes Gesetz“]. Les lois d’airain du cancer découvertes et fort bien exposées par le Docteur Hamer sont des lois biologiques absolues ; tout comme la Loi de la Pesanteur, elles s’accomplissent dans toutes les situations et dans tous les cas.

La maladie n’arrive jamais «par hasard». Selon les explications fournies par le Docteur Hamer, s’il n’y a pas, auparavant, de « choc biologique », alors il ne peut pas y avoir, non plus, de maladie. Alors, est-il possible d’éviter les chocs biologiques ? Voilà la question fondamentale – et même vitale - à se poser. Car s’il on évite les chocs biologiques, l’on évite aussi, dans le cerveau, les «foyers de Hamer» (ou «cibles») et les maladies corporelles que, autoactivement, simultanément, ils déclenchent.

Pour pouvoir répondre à cette question il faut tout d’abord bien comprendre ce qu’est un choc biologique. Au départ, le choc est psychique, mais ensuite, par répercussion, il devient biologique. Un choc biologique est donc un choc, au départ seulement psychique, qui, au lieu de demeurer purement psychique, s’est - si ce néologisme permet de mieux comprendre -, en quelque sorte,  «biologisé». La Nature a, en effet, sa propre Bio-Logique. Le choc, du fait d’une connexion particulière entre le psychisme et le corps physique terrestre, a pénétré jusque dans le corps physique.

Ceci ne se passe ordinairement pas parce que, d’ordinaire, le mental – donc l’intellect - agit comme un « isolant », au sens électrique du terme. Mais lorsque, du fait du caractère non seulement brutal mais soudain et imprévisible de l’événement déclenchant le choc, l’intellect perd le contrôle, l’«influx psychique» arrive alors à passer et, à la vitesse de l’éclair, déclenche, dans le corps, via le cerveau, la réaction bio-logique correspondante.

Dans la conscience ordinaire de jour – ou «diurne» -, en effet, à cause de la prédominance du mental - donc de la domination de l’intellect -, les chocs psychologiques restent dans le psychisme et n’arrivent pas jusque dans le physique. Par contre, lorsque le mental – donc l’intellect - est dépassé par les événements, alors l’impact psychique se répercute à plein dans le physique et c’est pourquoi de seulement psychique le choc devient aussi biologique.

À la suite de ce choc devenu biologique, le Docteur Hamer explique que le cerveau primitif ou «reptilien», en tant que «solution parfaite» au problème à lui posé, développe un « SBS » Sinnvolles Biologisches Sonderprogramm der Natur»] soit, en français, un «Programme Spécial Sensé (Bien-Fondé) de la Nature», donc un «programme spécial de survie».

L’on peut se demander pourquoi, en ce cas, c’est, en l’être humain, le cerveau reptilien – et non une autre partie du cerveau plus « moderne » - qui commande. Ce cerveau est, en effet, le plus primaire, le plus primitif, celui qui est sous la gouvernance de l’instinct.

La raison pour cela est, en fait, simple à comprendre. Beaucoup de fonctions, dans le corps, sont gérées de façon automatique et inconsciente, et -  du reste - heureusement ! Heureusement, car cela nous évite de devoir réfléchir en permanence, donc à chaque instant, pour savoir combien de fois et avec quelle intensité, pour pouvoir continuer à vivre, il nous faut respirer ou faire battre notre cœur ou bien ce que notre corps doit mettre en œuvre pour activer le processus d’oxygénation des cellules, etc. …

Ou bien, entre des milliers d’importants autres processus biologiques nécessaires à la survie, la quantité de telle enzyme bien déterminée qui va être nécessaire pour assurer la digestion correcte de tel aliment faisant partie du repas que nous venons de prendre. Ou bien encore ce que doit faire notre corps pour réparer les conséquences du choc physique que nous venons de recevoir, etc., etc.

Le cerveau reptilien est donc, entre autres, celui qui, fortement lié à l’instinct et en particulier à l’instinct de survie, commande, dans toutes les situations qui l’exigent, les réflexes de survie du corps. Ce cerveau primitif, à l’inverse du «grand cerveau» qui s’est développé par la suite, ne réfléchit pas mais il agit! Et il agit vite! Il répond d’une façon efficace et automatique mais pas forcément nuancée.

Il lui manque le discernement ; en particulier, il ne sait pas faire la différence entre le psychique et le physique. Cela veut donc dire - qu’une agression soit physique ou «seulement» psychique - qu’il réagira, dans les deux cas, de la même manière. Il ne sait pas faire la différence. Dans le vécu, pour lui, il n’y a, du reste, pas de différence. Et, lorsque le choc psychique est devenu biologique, le corps traite l’événement, au niveau biologique, comme s’il s’agissait d’une agression physique. Il est, en effet, programmé dans un seul but: la survie biologique! Et, pour cela, il est capable de faire de gros sacrifices!

En effet, dans la Nature – laquelle obéit à sa propre logique -, ce qui compte c’est de survivre à tout prix. En outre, plus que la survie de l’individu, dans cette logique bio-logique, la survie de l’espèce prime sur celle de l’individu. Cela signifie donc que la Nature – et donc le cerveau reptilien – est capable, s’il le faut - c’est-à-dire, par exemple, si la survie de l’individu menace celle de l’espèce -, de sacrifier l’individu!

Obéir à l’instinct, chez un animal, est parfaitement naturel. Car l’animal est porteur d’un noyau animateur qui, à l’évidence, fait partie de la Nature. Mais l’être humain, lui, même s’il est plongé dans la Nature, ne fait pas, pour autant, partie de la Nature. Il appartient à un «Règne» - ou à un genre – qui se tient «naturellement» - ou le devrait - au-dessus de la Nature.

L’animal obéit à son instinct, mais, chez l’être humain, porteur d’un Noyau animateur de genre différent pouvant, lui, être qualifié de spirituel, ne devrait-il donc pas, de ce fait, en aller autrement?

Si un être humain développe un cancer, quel qu’il soit, ou quelque autre maladie que ce soit, cela veut dire que, en lui, c’est encore le cerveau reptilien qui commande et qui a barre sur tout le reste. Cela veut donc dire que son noyau spirituel s’exprimant normalement en lui par l’intuition est largement ou même complètement inopérant.

À chaque fois qu’un être humain développe un tel « Programme Spécial Bien-Fondé de la Nature » il se soumet donc inconditionnellement à la Nature, à l’ordre du Naturel. Ce qui veut dire qu’il n’agit pas en tant qu’esprit mais qu’il réagit instinctivement, comme un animal, sans, toutefois, pouvoir avoir, en cela, le naturel de l’animal.

La différence c’est que, bien souvent, l’animal va rapidement régler son problème, de sorte que la situation de surstress ne durera pas trop longtemps. Et que la phase de réparation (vagotonie) sera courte et ne laissera pas trop de séquelles. Il n’y a que l’être humain à – avec son entêtement intellectuel – faire, de façon irresponsable, autant durer les conflits…

Le problème, c’est que, plus un conflit dure, et plus – de logique manière – la phase de réparation, si, d’une manière ou d’une autre, elle n’est pas sensiblement abrégée, va, elle aussi, durer «plus que de raison» – souvent des années et parfois même des décennies -, avec tous les risques encourus au cours de cette phase certes réparatrice mais néanmoins fort délicate

L’observation montre, en effet, que c’est souvent au cours de la phase de réparation que, en cours de guérison, les corps humains, ne pouvant surmonter l’épreuve de la réparation, succombent

Moralité : Plus un conflit est rapidement surmonté - et donc résolu - et mieux cela vaut ! Mais si l’on peut carrément éviter la «biologisation» du conflit c’est encore bien mieux, car il ne s’agira - en ce qui concerne le corps – plus, à proprement parler, de guérison mais seulement de prévention !

Ce n’est donc plus de la médecine – sauf, peut-être de la «Médecine de l’Âme!» - mais, tout simplement, de l’entretien de la Santé ! Ce point est, à tous points de vue, d’une très grande importance, car non seulement c’est tout bon pour les Conseillers en Santé Naturelle, qui peuvent ainsi se limiter à faire de la Prévention sans nullement courir le risque d’empiéter sur le domaine de la médecine (reproche qui, dans les annales, revient régulièrement lorsqu’il s’agit de guérir quelqu’un de corporellement malade !), mais c’est aussi et surtout très bon pour les candidats à une bonne Santé eux-mêmes puisqu’ils veut ainsi concrètement vivre le sage adage: «Mieux vaut prévenir que guérir!».

À notre époque ou tant de thérapies nouvelles sont offertes à chacun «en libre service», chacun ayant besoin de moyens pour guérir peut trouver une approche thérapeutique en harmonie avec son niveau de conscience.

En effet, aussi longtemps qu’un ressenti de culpabilité n’a pas été intégré par un être humain, subjectivement parlant, cette culpabilité n’existe pas encore pour lui.

Ainsi que l’a dit Jean Cocteau: «Les aveugles [que sont les malades] ne savent pas qu’ils sont aveugles, jusqu’à ce qu’un jour une bonne vérité leur crève les yeux!» 

Par la suite, nous examinerons quels sont les principaux événements générateurs de «conflits» - et donc de maladies -, et comment il est donc possible de les éviter en intervenant sur les points qui se trouvent sous la dépendance du vouloir de l’être humain.

Car, ainsi que l’a si bien dit épictète: «Dans la vie, il faut faire ce qui dépend de soi!». Car, bien sûr, le reste nous échappe. Il n’empêche que, malgré les apparences, beaucoup dépend tout de même de nous, car, ainsi que l’a dit Nietzsche, «à l’arrivée, il ne T’arrive rien d’autre que … Toi-même!».